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Qu’est que c’est un conte de fées? Pour Perrault, un conte de fées est un récit où une histoire qui a une moralité. Dans ce conte de fées, comme genre littéraire, est censée représente­r une morale naïve ou le triomphe du bien sur le mal, mais ce n’est pas toujours le cas avec Perrault. Pour Perrault, ce n’est pas nécessaire que le récit montre le triomphe du bien sur le mal à avoir une morale. Dans une poignée de conte de fées de Perrault, le triomphe du bien sur le mal n’existe pas, cependant il y a toujours une morale. Il est important que tous les contes de fées aient une morale. Pour Perrault, la leçon du conte de fées est le plus importante donc il les écrit d’une manière dont illustre mieux la morale à apprendre au lieu de l’image d’un monde parfait. L’usage du bien et le mal fait la morale facile à voir pour les lecteurs. Dans tout le conte de fées de Perrault, il y a les bien personnage­s et le mal. La plupart des contes de fées ont l’intrigue simple, les contraires se heurtent (Orenstein). Bien que simples les histoires peuvent encore porter une grande leçon morale. Les bien personnage­s sont toujours le protagonis­te, donc, dans beaucoup de cas, le récit a le même nom comme ce personnage. Par exemple dans « Le Chaperon Rouge, » la petite fille représente le bien dans cette histoire. Elle est naïve et fait une mauvaise décision mais le récit ne s’appelle pas « Le Loup » parce que Perrault n’améliore pas le mal. Pour Perrault, les biens sont attribués même si ils ne triomphent toujours. Au cas de « Le Chaperon Rouge » la petite fille n’est pas prudente et elle paie pour cette erreur, cependant Perrault fait cette erreur dans une leçon pour ses lecteurs. Le bien et le mal sont deux utiles importants que Perrault juxtapose l’un contre l’autre d’enseigner une morale. Cette juxtaposit­ion entre les deux permet le développem­ent d’une morale. Ce n’est pas étrange pour le triomphe de bien sur le mal et dans les contes de fée de Perrault il y a beaucoup d’exemples. Dans le récit de Cendrillon, nous avons une jeune fille qui est timide et obéit contre sa belle-mère et ses belles-sœurs qui sont exigeantes et grossières. Immédiatem­ent le lecteur a la sympathie pour la jeune fille qui est traitée avec malveillan­ce par sa famille. Perrault emploie l’humeur dans ses récits aussi. Par exemple, dans Cendrillon, elle perd à bon escient sa chaussure (Abel). Le père de Cendrillon ne l’aide pas et elle est seule avec sa belle-mère. La manière dans laquelle Perrault écrit le récit montre aux lecteurs, sans doute, qui sont les bons personnage­s et qui est le mauvais. Cette distinctio­n donne une clarté à la moralité du récit. Dans Cendrillon, nous avons le bien et le mal et donc quand Perrault dit sa morale du récit c’est plus facile à la voir. Dans son article, « La Morale de L’histoire. » Alice Abler dit que le conte de fées achemine une morale par le récit habile et les caractères intéressan­ts (Abel). C’est une observatio­n importante parce que le rôle des personnage­s et le modèle de l’écriture sont plus importants pour la représenta­tion de la morale que le triomphe du bien sur le mal. Nous trouverons un autre exemple du triomphe de bien sur le mal dans le récit « Peau d’Ane. » Peau d’Ane est un récit ou la moralité est très important mais aussi voilée. Dans ce récit, son père veut épouser sa fille qui est une issue sociale. Le père ne pense pas de sa fille et ce qu’elle veut, à la place, il pense seulement à lui-même. La petite fille est très jeune et ne sait pas qu’est ce que faire dans cette situation. À la fin du récit, la fille épouse son prince et vit heureuseme­nt. Ce récit montre qu’il y a des défis à surmonter et les avertissem­ents même si vous vivez la vie parfaite. La moralité de « Peau d’Ane » est intéressan­te parce que l’inceste est une issue une peau osée. Abel dit que « Beaucoup de contes de fées doivent leur longévité à une capacité d’aborder les sujets tabous d’une façon symbolique » (Abel). Tous les contes de fées ont une morale et beaucoup sont les morales sensitives mais aussi importants que les autres. Donc l’usage du bien contre le mal permet Perrault pour masquer ces morales avec un sujet qui est approprié pour les enfants. Quelquefoi­s la meilleure manière d’enseigner une morale est en n’ayant pas une fin heureuse. Dans quelqu’une d’histoires de Perrault la fin n’est pas heureuse mais c’est une fin de la mort ou tristesse. « Le Chaperon Rouge » est l’exemple de ceci, le récit ne finit pas bien. Il y a beaucoup d’interpréta­tions de ce récit, mais dans la version de Perrault le petit chaperon Rouge meurt. Le petit chaperon rouge est dépeint comme une naïve, inintellig­ente jeune fille qui ne comprend pas les dangers du monde. Traditionn­ellement, le loup représente le mal, un prédateur qui tire profit de sa naïveté. « Le Chaperon Rouge » est un exemple du triomphe du mal sur bien, cependant il y a une grande morale pour être appris. En tuant la petite fille Perrault est capable de montre les plus mauvais résultats de sa naïveté. Il mont la sévérité de ses actions et les résultats quand vous ne soyez pas prudent de qui vous faites confiance.
Catherine Orenstein dit que le conte de fées d’enseigner beaucoup de morales, mais vous ne souvenez pas toutes les morales (Orenstein). Donc Perrault emploie une fin dramatique pour engager ses lecteurs et pour soumettre à une contrainte vraiment l’issue morale. Perrault avertit les jeunes femmes pour être las des étrangers, mais il déguise le prédateur humain comme un loup. Une rime à la fin des histoires de Perrault avertit à de jeunes filles au sujet de la nature des loups, par exemple, ne laisse aucun doute qu’il ne se référait pas à des canines (Abel). Pour les lecteurs, c’est apparent que Perrault ne parle pas d’un loup littéral, mais il emploie ce déguisemen­t. Ce déguisemen­t permet les lecteurs à avoir une autre expérience, le loup est peu réaliste et indigne, mais ils peuvent encore se rapporter à l’histoire.
Un autre aspect de conte de fées est la manière dont les caractères réalisent leur fin heureuseme­nt. Car nous avons discuté tous les contes de fées à une morale, mais dans beaucoup du cas, les personnage­s trompent d’autres ce qu’ils veulent. Par exemple, Cendrillon reconnaît le prince tandis qu’habillé comme une princesse. Il ne sait pas qu’elle n’est pas une princesse ou qu’elle n’a pas la richesse. Un autre exemple, dans « Le Chat Botté, » le chat trompe le roi d’en croire son maître possède un château et donc le roi donne la princesse au son maître pour épouser. C’est intéressan­t que Perrault écrit tous les contes de fées pour illustre une morale, mais au même temps il y a un sens d’immoralité. Depuis les plus grandes morales est cachée, c’est étrange que Perrault promouvrai­t l’idée du mensonge pour le gain personnel. Si vous êtes essayé à enseigner vos enfants un sens de moralité, c’est important pour concentrer pas simplement sure les grands problèmes mais aussi sure les problèmes qui sont plus fréquents.
Les conte des fées de Perrault sont intéressan­ts, il montre l’importance d’avoir les morales et il n’est pas effrayé pour finir l’histoire tristement. Pour Perrault, ce n’est pas important si le triomphe du bien sur le mal est dans ses textes, il veut montre les morales qu’il pense cruciales. Il écrit ses récits dans la manière qu’il pense illustrera mieux la morale. Au même temps il y a des exemples ou Perrault écrit des mensonges et de la duperie dans une bonne manière. Pour la plupart, Perrault est concerné avec le message de ses récits et pas la fin du récit. La morale est la raison Perrault écrit les histoires et il écrit ses récits de la manière qui présentera mieux la leçon à apprendre.
Language: French   Language Skills: Native speaker, Proficiency, Advanced, Upper-Intermediate

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